Je vous informe qu'il y a une rencontre internationale de l'ONU sur le réchauffement climatique à Doha, capitale du Qatar du 26 novembre au 7 décembre 2012. Le saviez-vous? Est-ce que ça vous intéresse?

Je suis choqué et déçu de certains de mes concitoyens québécois, canadiens et du monde. Je n'en reviens pas aussi de politiciens d'ici et d'ailleurs qui ne priorisent pas cet enjeu afin d'appliquer des solutions concrètes et réelles à ce problème.

Nous sommes en train de détruire notre planète avec des gaz à effet de serre et... on dort aux gaz. C'est grave ce qui se passe actuellement. Il faut agir. Ici et maintenant. Notre attitude face au réchauffement climatique est un exemple concret du confort et de l'indifférence de bien des concitoyens. Qu'est-ce que la cupidité ne ferait pas pour certains d'entre nous?

Des études d'hommes et de femmes scientifiques compétentes travaillant dans des institutions crédibles nous informent que le réchauffement climatique affecte actuellement et affectera notre planète.

Ses effets sur les humains ne sont pas abstraits, mais bien réels: le réchauffement climatique tue des hommes et des femmes qui doivent subir l'augmentation et la fréquence d'ouragans, tempêtes tropicales, sècheresse, inondation, etc. Par solidarité humaine, il faut s'attaquer à ce problème. Est-on sensible à la détresse de nos frères et soeurs humains? Je me pose des questions. Il y a aussi tous les drames humains de ses hommes et femmes survivants : perte de proches, maladie, blessure, sous-alimentation, biens matériels détruits, appauvrissement, etc. Les effets néfastes sur la nature, les végétaux et les animaux. Il y a aussi des millions engloutis en reconstruction par les états suite à ses catastrophes climatiques.

Méfiez-vous de ses hommes et femmes qui disent penser à nous et à nos enfants et qui en même temps se foutent de réaliser des actions concrètes pour réduire les émissions de GES.

Méfiez-vous aussi du discours de ses politicailleux et ses affairistes qui cherchent continuellement dans les négociations internationales à reporter des décisions et des actions pour la réduction des GES.

Nous pouvons changer les choses. Nous pouvons réduire les gaz à effet de serre. Il y a des solutions. Il faut de la volonté. Informons-nous. Agissons dans notre quotidien. Rencontrons et écrivons aux décideurs notamment des gouvernements (municipale, québécois et canadien) et les acteurs du milieu des affaires. Ne nous laissons plus endormir par des discours. Il faut des actions. Il faut du concret.